Assemblée générale du Collectif FDE (un-e collègue par ÉSPÉ), le jeudi 24 octobre 2013
Bourse du travail, 3, rue du Château d’eau, 75010 Paris (M° République)
La rentrée dans les ESPÉ s’est faite dans la confusion la plus grande pour les étudiants et les personnels. Le SNESUP avec ses partenaires de la FSU et l’UNEF a écrit aux deux ministres pour dénoncer la situation actuelle et faire des propositions : http://snesup.fr/Presse-et-documentation?aid=6775&ptid=5&cid=240 http://snesup.fr/Presse-et-documentation?aid=6774&ptid=5&cid=240
Partout se tiennent des assemblées générales des personnels, et comme à Toulouse certains se lancent dans des actions de refus des conséquences d’une rentrée sans préparation, sans concertation et sans moyens nouveaux donnés aux universités. La colère de V. Peillon ne peut qu’être feinte, tant il ne peut ignorer qu’il est le premier responsable d’un tel état de fait en refusant les moyens fléchés aux ESPÉ, en annonçant tardivement les concours et sans concertation, en obligeant à réaliser des maquettes transitoires dans l’urgence, ou bien encore en réduisant le temps de formation en M2.
Aujourd’hui comme à Aix Marseille ce sont les étudiants qui disent leurs difficultés et se mobilisent.
Il faut peser sur les conditions de rentrée mais aussi sur les commissions qui écrivent les statuts.
Nous vous proposons des outils pour favoriser cette mobilisation : outre le dernier numéro de Former des maîtres consacré aux ESPÉ, une lettre aux recteurs à adapter aux situations locales, un diaporama à adapter :
( disponible en ligne : http://snesup.fr/Presse-et-documentation?aid=6793&ptid=5&cid=3070 ), des communiqués pour pouvoir protéger les personnels tout en construisant un rapport de force de nature à remettre à plat cette « réforme » et engager une véritable refondation de la formation des enseignants.